mercredi 24 avril 2013
Les uns ont été sanctionnés. Tandis que des femmes font leur entrée Les textes signés hier par le président de république ont été sans pitié pour ces anciens de chefs de terre.
Les uns ont été sanctionnés. Tandis que des femmes font leur entrée Les textes signés hier par le président de république ont été sans pitié pour ces anciens de chefs de terre. A l’annonce dans le journal de 17 sur le poste nationale de la lecture des textes du président de la république portant nomination des sous préfets, l’on était curieux de savoir le sort qui allait être réservé aux chefs de terres récalcitrants et particulièrement au sous préfet de l’arrondissement de Meiganga.
Ce dernier qui a été rendu tristement célèbre il ya quelques jours par ses déboires sexuels. En effet, en compagnie de trois autres personnes, Célestin Messi puisqu’il s’agit de lui a participé à une séance de viol collectif qui d’après les déclarations de la victime s’est déroulée dans sa résidence administrative de la localité. Donc l’éviction de son poste de ce sous préfet qui était prévisible, apparait comme une volonté manifeste d’assainir ce corps dont les membres, une fois affectés dans l’arrière pays, se donnent à toutes sortes de déviances même les plus ignobles.
Comme Célestin Messi, ci cinq autres sous préfets ont été déchus de leur poste. Notamment ceux de Makénéné, de Darack, de Yingui, de Guider, de Bello…
Autres faits marquants de ces nominations, c’est la nomination de nouvelles femmes comme sous préfets ; notamment dans les arrondissements de Ngaoundéré 3è, de Garoua 3è, de Monatélé et de Bikok. Celles-ci rejoignent les deux qui étaient en poste et complètent à 5 le nombre de femmes chefs de terre au Cameroun.
Les textes du président de la république qui interviennent deux ans après ceux du 29 avril 2011, comble ainsi le vide laissé par la promotion de certains sous préfets au poste de Préfet à la suite du mouvement des préfectorales intervenu le 22 octobre 2012.
Source:Nouvelle Expression